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Prix
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Éthique à Nicomaque
Aristote
- Vrin
- Bibliotheque Des Textes Philosophiques
- 7 Octobre 2002
- 9782711600229
« Tout art et toute investigation, et pareillement toute action et tout choix tendent vers quelque bien, à ce qu'il semble. Aussi a-t-on déclaré avec raison que le Bien est ce à quoi toutes choses tendent.
Mais on observe, en fait, une certaine différence entre les fins : les unes consistent dans des activités, et les autres dans certaines oeuvres, distinctes des activités elles-mêmes. Et là où existent certaines fins distinctes des actions, dans ces cas-là, les oeuvres sont par nature supérieures aux activités qui les produisent. [...].
Si donc il y a, de nos activités, quelque fin que nous souhaitons par elle-même, [...] il est clair que cette fin-là ne saurait être que le bien, le Souverain Bien. ». -
Si le caractère composite de la Métaphysique a donné lieu à de nombreux débats, relatifs à son ordonnancement et à l'authenticité des traités qui la composent, il se dégage de ces derniers une unité thématique certaine. Après avoir vérifié, par une confrontation avec la doctrine des causes et des principes de ses prédécesseurs, la théorie des causes exposée dans la Physique, Aristote s'attache à construire une théorie des formes, apte à expliquer la nécessité interne aux phénomènes de la nature. Soucieuse d'articuler la recherche des premiers principes et des premières causes à une théorie positive du mouvement, la Métaphysique, avec les concepts de puissance et d'acte, conduit à une réforme des théories de la forme, nées dans l'Académie platonicienne. L'ensemble de la théorie antérieure des principes, qui posait les contraires en principes, s'y trouve renouvelée. Prenant acte de l'évolution des connaissances philologiques et philosophiques, la présente traduction se conforme rigoureusement au texte grec pour tenter de restituer le style propre à la pensée d'Aristote. Le lecteur trouvera dans cet ouvrage une traduction, mise à jour, de l'intégralité des quatorze livres de la Métaphysique.
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« Mon intention n'est pas de m'en tenir aux seuls enfants des mendiants avérés ; mon projet [...] se propose d'englober tous les enfants d'un âge donné dont les parents sont en vérité aussi incapables d'assurer la subsistance que ceux qui nous demandent la charité dans les rues. »
Trois ans après les Voyages de Gulliver, Jonathan Swift pousse la logique économique à son terme : puisque chacun doit contribuer à la richesse commune, les pauvres et leurs enfants doivent être réinsérés dans ce cycle.
Quitte à ce que cela soit de la plus folle manière.
Traduit de l'anglais par Lili Sztajn et Thierry Gillyboeuf.
Postface de Gilles Tordjman. -
Une réflexion sur la cité qui se fonde sur ses conditions concrètes d'existence : la première communauté est celle de l'union des êtres qui ne peuvent exister l'un sans l'autre.
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Le traité De l'âme est l'un des traités du Corpus aristotélicien qui présente le plus d'unité. Cela pourrait expliquer que son influence a été des plus importantes tant dans l'Antiquité qu'au Moyen Âge - grâce à la médiation des philosophes musulmans, de leurs commentaires et interprétations - et aux temps modernes.
Ce qui, pour l'époque contemporaine, constitue la psychologie est, aux yeux d'Aristote, une partie de la physique. Cette science étudie les effets des êtres soumis au mouvement, au changement, et en premier lieu les vivants. L'âme est d'abord la vie, ou plutôt le principe de vie.
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L'Éthique à Nicomaque d'Aristote est composée de neuf livres qui traitent les moyens d'atteindre le bonheur en développant la vertu.
Les deux derniers livres sont consacrés à définir l'amitié, telle qu'elle existe et telle qu'elle doit être vécue par l'homme vertueux. La méthode aristotélicienne permet de distinguer les différentes causes et les différentes manifestations de l'amitié, nécessaire à l'homme et qui lui révèle son appartenance à la communauté. Le véritable ami est celui qui aime l'autre pour lui, et non en vue de ce qu'il peut lui apporter.
Aristote est un philosophe grec né au IVe siècle avant J.-C. La mort prématurée de son père médecin, Nicomaque, le conduit à l'Académie d'Athènes fondée par Platon. Il en retiendra quelques grands principes comme l'immortalité de l'âme mais il remet en question la réalité du monde des Idées. Philippe, roi de Macédoine, l'engage comme précepteur pour son fils Alexandre. Lorsque ce dernier devient roi, Aristote revient à Athènes et fonde le Lycée. Il enseigne sa doctrine philosophique à ses élèves en marchant dans les jardins et compose la majeure partie de ses ouvrages. Il quitte la capitale après la chute d'Alexandre le Grand et meurt, retiré, à 63 ans.
Aristote est le fondateur de la logique appliquée au discours mais aussi à la nature. Il y voit les mêmes règles causales qui régissent le monde : les causes motrices et finales permettent d'expliquer les lois naturelles, mais aussi la connaissance que l'on peut en avoir. Il classifie le savoir et les êtres vivants en différentes catégories selon leurs causes qui déterminent leurs définitions. Il prône l'empirisme comme moyen d'une connaissance pratique, et vise le bien suprême menant à la vertu : le bonheur. Sa pensée influencera tous les domaines de la culture occidentale jusqu'au XVIIIe siècle (politique, logique, éthique, biologie, astronomie, rhétorique, etc.) et reste actuelle lorsqu'elle aborde la métaphysique et la nature humaine. -
Les livres Alpha, Bêta, Gamma et Delta de la Métaphysique forment un ensemble cohérent consacré à la « philosophie première », qu'Aristote définit comme « la science de ce qui est en tant qu'il est ». Les livres Epsilon et Petit alpha, qui sont les deux livres les plus brefs du recueil qu'est la Métaphysique , proposent deux développements à cette enquête sur la philosophie première. Petit alpha décrit la philosophie comme contemplation de la vérité et connaissance des causes et principes. Epsilon, pour sa part, revient sur la science de ce qui est en tant qu'il est, pour en distinguer la connaissance de ce qui est « par accident ». C'est l'occasion pour Aristote de prononcer l'une des phrases les plus fameuses de son oeuvre, en désignant la philosophie comme une science des choses divines, une science « théologique ».
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l'accès à aristote a toujours été rendu obscur par des strates d'interprétation qui ont déformé l'originalité extrême du texte.
on a lu son oeuvre au travers de la pensée latine, puis par le biais du christianisme et de ses théologies si éloignées de la philosophie grecque. il était enfin temps de retraverser toute la sédimentation de la translation latine et scolastique du texte aristotélicien pour redécouvrir, à partir de son grec premier, sa verdeur et son inventivité. en plus de retrouver le texte original, cela permet de constater le nombre de contresens, de crispations et le dogmatisme que ces versions ont véhiculés.
cette nouvelle traduction de la rhétorique nous montre un aristote qui, loin d'être un rationaliste logicien, est une sorte de phénoménologue avant la lettre, un homme soucieux de faire apparaître les diverses modalités de ce qui est.
ici, il faut repenser entièrement les textes d'aristote, en se mettant à l'écoute du grec. une révolution herméneutique.
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Invitation à la philosophie
Aristote
- Mille et Une Nuits
- La Petite Collection
- 7 Juin 2000
- 9782842054489
Aristote meurt en 322 avant J.-C.. exilé à Chalcis. On ne saurait rien de cette Invitation à la philosophie si un philosophe néo-platonicien, Jamblique (vers 250), ne s'était senti obligé d'en reprendre littéralement un très long fragment, qu'exhume notre édition, au sein de son oeuvre.
On y découvre un jeune Aristote encore à l'Académie, sous l'influence de l'enseignement de Platon. Il s'adresse à Thémison, roi d'une cité-État de Chypre pour le convertir à la philosophie.
Très populaire dans l'Antiquité, ce texte exerça une profonde influence sur Épicure et sur Cicéron : il modela la grande tradition philosophique occidentale. -
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Le livre Delta de la Métaphysique examine et définit une quarantaine de termes. Ce sont les mots principaux de la philosophie première, ceux qu'elle doit employer à bon escient. Des mots qui ont différentes significations, parmi lesquelles il faut distinguer celles qui sont le plus exactes, parce qu'elles nomment, au sens strict, les réalités que la philosophie doit connaître. Ce sont les concepts fondamentaux de la métaphysique qu'examine le livre Delta. Des concepts qui nomment de façon sûre les réalités qu'ils désignent, en nous permettant de les penser comme elles sont et donc de les connaître. Le livre Delta prend acte de l'importance de ces termes, des usages différents qu'en ont fait tous ceux qui ont philosophé et de la manière dont il convient de les employer pour qu'enfin le discours philosophique atteigne la nature des choses et nomme ce qu'elles sont.
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Il n'est pas une branche du savoir de son temps qu'Aristote n'ait étudiée:de la logique à la rhétorique en passant par la dialectique, de la physique et la chimie à la cosmologie, de la métaphysique et la théologie aux mathématiques, de la politique et l'éthique à la psychologie, sans oublier le très important corpus biologique et le recueil des différentes constitutions qu'il avait compilées avec ses élèves.On redécouvre aujourd'hui l'importance du «maître de ceux qui savent» tant pour l'Occident chrétien que pour l'Orient islamique, et l'on trouve un fondement aristotélicien à presque toutes nos sciences dites «humaines».Cette édition comprend la totalité des oeuvres authentiques d'Aristote, ainsi que la traduction inédite en français des Fragments. Elle comporte en outre une introduction générale, des notices de présentation pour chaque groupe de traités, un index des notions et un index des philosophes, qui permettent à tous, néophytes ou familiers, de redécouvrir Aristote.
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Métaphysique Tome 1 ; livres A-Z
Aristote
- Vrin
- Bibliotheque Des Textes Philosophiques
- 7 Octobre 2002
- 9782711610778
Oeuvre capitale d'Aristote, la Métaphysique rentre dans la classe des écrits destinés au public philosophique. La métaphysique ou Philosophie première, occupe le sommet de la hiérarchie des sciences théorétiques, en raison de l'absolue réalité de son objet, qui est la forme pure, immobile, éternelle et séparée.
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« Nous voyons que toute cité est une sorte de communauté, et que toute communauté est constituée en vue d'un certain bien (car c'est en vue d'obtenir ce qui leur apparaît comme un bien que tous les hommes accomplissent toujours leurs actes) : il en résulte clairement que si toutes les communautés visent un bien déterminé, celle qui est la plus haute de toutes et englobe toutes les autres vise aussi, plus que les autres, un bien qui est le plus haut de tous. Cette communauté est celle qui est appelée cité, c'est la communauté politique. »
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Voici venu le temps de l'Éthique à Eudème. Comme l'Éthique à Nicomaque, cette autre Éthique attribuée à Aristote a pour objet l'achèvement de l'humanité dans l'homme, achèvement qui se confond avec le bonheur. Mais tandis que le premier traité est expressément lié à un projet politique, le second insiste sur la dimension intime - et néanmoins universelle - de l'éthique : «Si la beauté d'une vie réside dans des choses obtenues par hasard ou par nature, beaucoup de gens ne pourraient l'espérer : leur effort ne permettrait pas de l'obtenir, elle ne dépendrait pas d'eux et ne pourrait être leur objet d'étude. En revanche, s'il consiste en une certaine qualité qu'ont une personne et ses actes, le bien de la vie pourrait être plus commun et plus divin.» Cette affirmation du choix individuel comme principe de la conduite éthique est à la source de la longue réflexion occidentale sur la responsabilité morale et juridique. C'est ainsi que l'Éthique à Eudème, longtemps restée dans l'ombre de l'Éthique à Nicomaque, fait l'objet aujourd'hui d'une véritable redécouverte, à laquelle entend contribuer la présente édition.
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Les Premiers Analytiques constituent la troisième partie de l'Organon. Après Sur l'interprétation et avant les Seconds Analytiques, ce texte se veut un guide théorique et pratique du savoir-raisonner. Le Stagirite y fonde rien de moins que la logique comme discipline formelle en construisant un modèle minimal et universel du raisonnement, la déduction élémentaire ou «syllogisme», qui met en jeu trois termes. Il montre comment on peut se régler sur ce modèle pour produire des arguments corrects et solides et pour rendre raison des inférences que l'on fait ordinairement (y compris de celles qui se révèlent imparfaites ou erronées). «La déduction, écrit Aristote en ouverture des Premiers Analytiques, est un discours dans lequel, certaines choses ayant été posées, une chose distincte de celles qui ont été posées s'ensuit nécessairement du fait que celles-là sont.» Principe fondamental de construction du raisonnement, qui vaut depuis plus de deux mille ans.
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Métaphysique Tome 2 ; livres H-N
Aristote
- Vrin
- Bibliotheque Des Textes Philosophiques
- 7 Octobre 2002
- 9782711610785
Oeuvre capitale d'Aristote, la Métaphysique rentre dans la classe des écrits destinés au public philosophique. La métaphysique ou Philosophie première, occupe le sommet de la hiérarchie des sciences théorétiques, en raison de l'absolue réalité de son objet, qui est la forme pure, immobile, éternelle et séparée.
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Les Petits traités d'histoire naturelle (Parva naturalia) d'Aristote traitent tout à la fois de la sensation, de la mémoire, de l'apparition des rêves et de leur signification, mais aussi de la longévité des animaux et des plantes, de la respiration, de la vie et de la mort. Derrière cette apparente diversité, se dessine une question essentielle qu'Aristote ne pose nulle part ailleurs avec autant de précision : quels liens faut-il établir entre l'étude des représentations et la connaissance du vivant ? Prolongeant les analyses du traité De l'âme, ces opuscules sont des textes fondateurs dans l'histoire de la psychologie et ils formulent des hypothèses décisives pour la philosophie de la connaissance.
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Le traité Météorologiques tient une place singulière dans le corpus aristotélicien. Ce n'est pas une oeuvre où s'élaborent des concepts sur l'essence de l'être ; il n'y est pas traité des mystères de la vie non plus que de ceux du ciel qui, pour les Grecs, est habité par ces êtres divins toujours identiques à eux-mêmes que sont les astres qui brillent au firmament. Cet ouvrage est le seul où Aristote explique des phénomènes qui ne sont pas de l'ordre du vivant, et qui n'ont pas non plus la majesté et la régularité des phénomènes célestes. Le propos est, en un sens large, la biosphère - les phénomènes qui se produisent dans l'atmosphère et sur la terre : liés à l'eau (mers, fleuves et rivières, pluies, neige, brouillard, grêle), à l'air (vents et tempêtes, orages et typhons), au feu et à la lumière (comètes et météorites, halo et arc-en-ciel), à la terre (séismes). A quoi s'ajoutent des explications sur les modalités qui affectent minerais et minéraux. Aristote est le premier à avoir organisé un ensemble de spéculations concernant des phénomènes très divers, mais qui se situent en un même domaine, encore que leurs causes ultimes soient à chercher dans le Soleil et les mouvements célestes. Il fonde ainsi une " science " dont les principes explicatifs s'appliquent à toute la diversité phénoménale.
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Depuis l'avènement de la physique moderne, la physique d'Aristote a perdu son ancien prestige, voire sa crédibilité. Pour beaucoup elle ne constitue plus qu'un objet d'étude pouvant intéresser uniquement l'histoire des sciences ou de la philosophie. Cette pauvreté dans l'utilisation d'un texte pourtant essentiel de la pensée du Stagirite contraste avec le succès d'autres de ses oeuvres, comme les traités de logique, d'éthique, de métaphysique ou de poétique. Ce phénomène se poursuit au XXe siècle, puisque les livres sur la Physique sont rares et, le plus souvent ne tiennent compte que de certains problèmes.Cette nouvelle traduction souhaite permettre aux regards de se tourner à nouveau vers un livre central de la pensée d'Aristote.
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Le livre Bêta de la Métaphysique examine une quinzaine d'apories consacrées à la science première, à la réalité, à l'être, aux principes qui constituent toutes choses. Ce sont des difficultés, dont Aristote soutient que l'on ne pourra philosopher convenablement, selon les termes du programme qu'il a établi dans le livre Alpha, qu'en les examinant minutieusement. Non pas simplement en leur apportant une réponse, comme d'autres ont pu le faire avant lui, mais en étudiant la manière dont des penseurs ont abordé ces difficultés et dont ils en ont fait des problèmes, avec plus ou moins de succès. La philosophie, montre Aristote en faisant dialoguer et se confronter des opinions philosophiques opposées, trouve son excellence dans son aptitude à poser les bonnes questions et à forger les problèmes à même de satisfaire le désir de connaissance qui est le propre de notre nature.
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La Constitution d'Athènes est la seule qui nous soit parvenue des 158 monographies de cités grecques composées au sein de l'école d'Aristote, peu après le milieu du IVe siècle av.
J.-C. Publié pour la première fois en 1891, ce texte a révolutionné ce que l'on savait d'Athènes, de ses institutions, de son histoire. Il donne une description inégalée du régime politique de cette cité démocratique, avec un exposé historique qui montre les étapes de sa mise en place. C'est la seule pièce qui nous reste pour saisir comment la réflexion d'Aristote sur la politique s'est formée par l'étude du réel.
Ce traité n'avait été traduit qu'une fois en français, en 1922. De nombreux travaux d'histoire et d'archéologie en ont renouvelé la compréhension. La présente édition voudrait en faciliter la lecture à tous ceux qui s'intéressent à Athènes, à ses institutions, ou à l'histoire de la démocratie.
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Invitation à la philosophie : (Protreptique)
Aristote
- Folio
- Folioplus Philosophie
- 16 Novembre 2006
- 9782070340958
Dans Folioplus philosophie, le texte philosophique, associé à une oeuvre d'art qui l'éclaire et le questionne, est suivi d'un dossier organisé en six points : - Les mots du texte : Vérité, nature, bonheur, sagesse - L'oeuvre dans l'histoire des idées - La figure du philosophe - Trois questions posées au texte : Quel est le contenu philosophique d'une invitation à la philosophie ? La vie n'est-elle qu'une malédiction ? Qui est l'insensé ? - Groupement de textes : La philosophie : seulement des mots ? - Prolongements.
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La conception de l'unité de la science paraît étrangère à Aristote. Il existe, en fait, une variété de sciences, correspondant à la variété des genres dont elles traitent : la science pratique considère les actions de l'homme; la poétique est science de la production.
Les sciences théorétiques sont la Mathématique, la Physique et la Métaphysique. Le De generatione continue, en ses deux livres, l'étude des corps sublinaires.