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La Métaphysique est cet ouvrage qu'Aristote n'a jamais écrit, ou plutôt cet ensemble de leçons, rassemblées tardivement par un copiste-bibliothécaire, au sujet du savoir suprême. Dans ces textes, Aristote s'efforce de situer, en regard de la physique, ce haut savoir qu'il désigne à plusieurs reprises comme philosophie première .
Cette traduction singulière de Bernard Sichère redonne sa tonalité à la langue d'Aristote tout en la confrontant à la lecture novatrice qu'en a fait Heidegger.
Elle est publiée pour la première fois en un seul volume.
Traduction depuis le grec ancien en français moderne par Bernard Sichère -
l'accès à aristote a toujours été rendu obscur par des strates d'interprétation qui ont déformé l'originalité extrême du texte.
on a lu son oeuvre au travers de la pensée latine, puis par le biais du christianisme et de ses théologies si éloignées de la philosophie grecque. il était enfin temps de retraverser toute la sédimentation de la translation latine et scolastique du texte aristotélicien pour redécouvrir, à partir de son grec premier, sa verdeur et son inventivité. en plus de retrouver le texte original, cela permet de constater le nombre de contresens, de crispations et le dogmatisme que ces versions ont véhiculés.
cette nouvelle traduction de la rhétorique nous montre un aristote qui, loin d'être un rationaliste logicien, est une sorte de phénoménologue avant la lettre, un homme soucieux de faire apparaître les diverses modalités de ce qui est.
ici, il faut repenser entièrement les textes d'aristote, en se mettant à l'écoute du grec. une révolution herméneutique.
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Dans le Traité de l'âme, Aristote conduit l'élucidation de ce qu'est la vie jusqu'au coeur du phénomène. En effet, les vivants existent par et pour l'âme. Elle est ce qui permet de naître, de venir à maturité et de déployer ses aptitudes ; elle se rapporte à un corps déterminé qu'elle anime.
Dans cette possibilité dont l'homme a le privilège, l'âme connaît et accède à la présence de toutes choses. C'est pourquoi Aristote affirme qu'elle est l'ensemble de tout ce qui est . Sa thèse n'est donc ni une psychologie, ni une biologie, mais bien une ontologie de la vie.
Grâce à cette nouvelle traduction d'Ingrid Auriol, qui remet en question nombre de présupposés et fausses évidences, le propos d'Aristote apparaît enfin dans toute sa beauté. Il permet d'approcher la vertu native de l'un des textes majeurs où les racines de toute la pensée Occidentale apparaissent en pleine lumière.
INÉDIT -
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L'accès à Aristote a toujours été rendu obscur par des strates d'interprétation qui ont déformé l'originalité extrême du texte.
On a lu son oeuvre au travers de la pensée latine, puis par le biais du christianisme et de ses théologies si éloignées de la philosophie grecque. Il était enfin temps de retraverser toute la sédimentation de la translation latine et scolastique du texte aristotélicien pour retrouver, à partir de son grec premier, sa verdeur et son inventivité. En plus de retrouver le texte original, cela permet de constater le nombre de contresens, de crispations et le dogmatisme que ces versions ont véhiculés.
Après les livres A à E, cette nouvelle traduction des livres Z à N de la Métaphysique nous montre un Aristote qui, loin d'être un rationaliste logicien, est une sorte de phénoménologue avant la lettre, un homme soucieux de faire apparaître les diverses modalités de ce qui est. Ici, il faut repenser entièrement les textes d'Aristote, en se mettant à l'écoute du grec. Une révolution herméneutique.
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l'accès à aristote a toujours été rendu obscur par des strates d'interprétation qui ont déformé l'originalité extrême du texte.
on a lu son oeuvre au travers de la pensée latine, puis par le biais du christianisme et de ses théologies si éloignées de la philosophie grecque. il était enfin temps de retraverser toute la sédimentation de la translation latine et scolastique du texte aristotélicien pour redécouvrir, à partir de son grec premier, sa verdeur et son inventivité. en plus de retrouver le texte original, cela permet de constater le nombre de contresens, de crispations et le dogmatisme que ces versions ont véhiculés.
cette nouvelle traduction des six premiers livres de la métaphysique nous montre un aristote qui, loin d'être un rationaliste logicien, est une sorte de phénoménologue avant la lettre, un homme soucieux de faire apparaître les diverses modalités de ce qui est. ici, il faut repenser entièrement les textes d'aristote, en se mettant à l'écoute du grec. une révolution herméneutique.
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l'accès à aristote a toujours été rendu obscur par des strates d'interprétation qui ont déformé l'originalité extrême du texte.
on a lu son oeuvre au travers de la pensée latine, puis par le biais du christianisme et de ses théologies si éloignées de la philosophie grecque.
il était enfin temps de retraverser toute la sédimentation de la translation latine et scolastique du texte aristotélicien pour redécouvrir, à partir de son grec premier, sa verdeur et son inventivité. en plus de retrouver le texte original, cela permet de constater le nombre de contresens, de crispations et le dogmatisme que ces versions ont véhiculés.
cette nouvelle traduction du livre vi de 1'ethique à nicomaque nous montre un aristote qui, loin d'être un rationaliste logicien, est une sorte de phénoménologue avant la lettre, un homme soucieux de faire apparaître les diverses modalités de ce qui est. ici, il faut repenser entièrement les textes d'aristote, en se mettant à l'écoute du grec. une révolution herméneutique.