Un matin, Fernando trouve un poème par terre. Un poème triste et fatigué. Un peu comme lui. Mais quand Fernando décide de lire ce poème, une immense joie l'envahit. Alors Fernando veut partager ce poème, l'offrir, à tous ceux qui, comme lui, sans le savoir, en ont terriblement besoin.
Une ode aux pouvoirs de la poésie et à son universalité.
La magie est entrée dans leur vie, sans prévenir. Dans la salle de bains, les objets se sont animés, se sont envolés. Au collège, ses devoirs ont disparu. La magie est irrationnelle et imprévisible. Mais les objets n'obéissent pas, car la magie est illogique, incontrôlable, nécessaire, terrifiante et magnifique. Le narrateur s'empare de cette vision du réel parce que rien ne fonctionne plus à la maison ni au collège depuis le départ de son père, et ça, la magie n'y peut rien.