N°1 des ventes en Grande-Bretagne et au Canada, Peter Robinson s'impose avec sa série des enquêtes de l'inspecteur Banks (plus de 10 millions d'exemplaires dans le monde) comme une des références du polar britannique.
La nouvelle chef de la police du Yorkshire ayant placé la sécurité des campagnes au sommet de ses priorités, Alan Banks et les flics de la Criminelle sont sommés d'élucider au plus vite un simple vol de tracteur ! Mais cette affaire banale en cache peut-être une autre. Alors que deux garçons d'un village voisin sont portés disparus, un promeneur découvre non loin de là une flaque de sang suspecte dans un hangar désaffecté.
Un cadavre décapité, une jeune fille inquiétée par un faux policier, un accident de la route aux macabres révélations... l'enquête de routine bascule brutalement dans une dangereuse course contre la montre, contre la mort.
Jaff est beau, ambitieux, et sait s'entourer d'un irrésistible parfum de mystère. Mais il est aussi très dangereux. Tracy, la fille de l'inspecteur Banks, a succombé à son charme... et à son emprise. Au point d'accepter de le suivre lorsqu'il tente de semer la police qui le recherche pour détention d'arme. Pour la jeune femme, c'est le début d'une traque mortelle à travers le pays. Parti soigner sa dernière désillusion amoureuse sous le soleil de la Californie, Banks, qui ignore tout, découvre à son retour le coup de tête de sa fille. Il sera alors confronté à l'enquête la plus angoissante et la plus personnelle de sa carrière.
Un cadavre est découvert pendu dans un bois près d'Eastvale. L'homme, rapidement identifié comme Mark Hardcastle, était le populaire et flamboyant décorateur de l'Othello donné par la troupe de théâtre locale. Pour l'inspecteur Annie Cabbot, tout indique un suicide. Mais quand on retrouve son riche amant baignant dans son sang, Annie s'interroge. Un crime passionnel aurait-il pu conduire Mark, désespéré, à se supprimer ? Prise de doute, elle appelle Alan Banks en renfort, quitte à le priver de ses vacances et l'arracher aux bras de sa nouvelle petit amie Leur enquête les plonge dans un monde trouble et dangereux pour lequel semblent avoir été écrits les célèbres vers d'Othello :« Jalousie, trahison, envie, ambition, avidité, luxure, vengeance toutes les couleurs des ténèbres. »« Peter Robinson bâtit des intrigues subtiles et prenantes, mais le plus frappant reste son art de créer une atmosphère Les aventures de l'inspecteur Banks demeurent une sorte de quintessence du polar anglais. » Le Monde
Après la mort de sa femme, le compositeur hollywoodien Chris Lowndes décide de revenir s'installer dans son Yorkshire natal. Il y retrouve les belles landes sauvages de Kilnsgate House. Mais, très vite, l'atmosphère dans la vieille demeure s'avère troublante. Chris apprend que l'ancienne propriétaire des lieux, Grace Elizabeth Fox, a été condamnée à la pendaison pour le meurtre de son mari, un éminent médecin, soixante ans plus tôt. Et si Grace était innocente ? Cette question l'obsède. Au point de revisiter toute l'affaire.
Peter Robinson abandonne un temps l'inspecteur Banks pour un suspense romantique et envoûtant à la Rebecca. Une exploration de la culpabilité, du sacrifice de soi et de la rédemption.
eastvale, paisible petite ville du yorkshire, au cadre idyllique.
c'est là que vient d'être muté l'inspecteur banks, qui a quitté sans regret londres et son cortège de violences. mais, sous ce décor de carte postale, se cache une réalité beaucoup plus sombre, beaucoup plus dangereuse, incarnée par un voyeur qui espionne les femmes la nuit dans leur chambre... le pervers ne choisit pas ses victimes au hasard : celles-ci semblent toutes avoir un point commun. la tension monte d'un cran dans la cité lorsqu'une vieille dame est retrouvée sauvagement assassinée.
les deux affaires sont-elles liées ? et que penser de ces deux adolescents, petits délinquants passés du vol aux agressions ? banks va devoir faire preuve de perspicacité pour débusquer la vérité, au-delà des apparences.
Bill Quinn, officier de police médaillé, est assassiné par un tireur à l'arbalète dans un paisible centre de rééducation. Près de la scène du crime, on découvre des photos compromettantes montrant Quinn avec une superbe jeune fille, vraisemblablement mineure. Était-il victime d'un chantage ? À l'inverse de Joanna Passero de l'Inspection générale de la police, l'inspecteur Alan Banks ne croit pas à une affaire de corruption interne. Et si la mort de Quinn était liée à une enquête menée six ans plus tôt après la disparition d'une jeune Anglaise en Estonie ? La piste va conduire Banks et son équipière jusque dans les sombres dédales du vieux Tallin, où certains n'ont manifestement aucune envie que l'on remue le passé...Si vous n'avez pas encore rencontré Banks, préparez-vous à une grande leçon d'écriture : tension, précision et grande subtilité psychologique. Ian Rankin.
L'inspecteur Alan Banks et sa collègue Annie Cabott enquêtent sur des meurtres apparemment sans lien, ceux d'une paraplégique et d'une étudiante à Eastrale. La vengeance est le mobile de ces meurtres qui plongent leurs racines dans le passé, dix-huit ans plus tôt, dans un contexte d'actes sadiques suivis d'assassinats sur des adolescentes.
Keith Rothwell, comptable de son état, est sauvagement assassiné. Ce sont sa femme et sa fille qui découvrent son corps décapité, dans leur demeure du Yorkshire.
Qui pouvait en vouloir à cet homme, apparemment sans histoires ? se demande, perplexe, l'inspecteur Banks, chargé de l'enquête. Au fil de ses recherches, il va découvrir que, derrière la façade de respectabilité de Rothwell, se cache une franche crapule, expert, notamment, dans le blanchiment d'argent. L'affaire prend alors une tout autre tournure...
1969, dans le Yorkshire.
Lors d'un festival de rock, une jeune fille est poignardée. L'enquête tourne alors autour d'un groupe débutant : Les Chapeliers fous. Trente-six ans plus tard, un journaliste est sauvagement assassiné. Sans mobile apparent. Mais toujours ces Chapeliers fous, au sujet desquels il préparait un article. Au fil de son enquête, l'inspecteur Banks va découvrir que ce n'est pas la première fois que ces superstars vieillissantes du rock sont mêlées à une tragédie...
Surfant à un rythme infernal entre passé et présent, l'intrigue nous replonge au coeur de la génération Sex, drugs and rock and roll. Grand Prix de littérature policière pour Saison sèche, Peter Robinson s'est imposé comme l'un des maîtres du genre.
Sur le répondeur de l'inspecteur Banks, un message de son frère : « Rappelle-moi vite... C'est une question de vie ou de mort...» Mais Roy est injoignable et Banks décide de partir pour Londres à la recherche de ce frère businessman qu'il connaît peu. Parallèlement, dans le Yorkshire, sa collègue Annie Cabbot, chargée d'élucider le meurtre d'une jeune femme, découvre dans la poche du cadavre un papier portant le nom et l'adresse de Banks : pour Annie et pour Banks, qui n'a trouvé à Londres qu'un appartement vide, les deux affaires sont évidemment liées...
Avec son personnage de flic déprimé, amateur de jazz et de bon whisky, Robinson s'impose comme un des auteurs majeurs du polar contemporain.
Dans le petit matin glacé de janvier, deux péniches en feu sur un canal du Yorkshire. Au milieu des décombres, deux cadavres calcinés. Pour l'inspecteur Banks, le meurtre ne fait aucun doute. Mais qui était visé ? Tina, la jeune droguée de seize ans, ou Tom, le mystérieux artiste solitaire ?
Lorsque l'incendiaire frappe à nouveau, les talents d'enquêteur de Banks sont mis à rude épreuve...
Les enquêtes de l'inspecteur Banks sont les meilleurs suspenses du marché.
MATRICULE 1139Eastvale, Yorkshire. Lors d'une manifestation antinucléaire, la police charge violemment la foule, faisant plusieurs blessés. Mais, à l'issue des échauffourées, on découvre le corps de l'agent Gill, poignardé. Les suspects ne manquent pas et la tâche de l'inspecteur Banks s'avère particulièrement délicate. D'autant que débarque de Londres un collègue réputé pour son racisme, son machisme et sa brutalité. «Dirty Dick» Burgess va obliger Banks à suivre une voie qui pourrait bien lui coûter sa carrière... ou pire. Et, comme on s'en doute, une mort n'arrive jamais seule...