Sydney Laurent
-
"La mécanique quantique et la relativité ont bouleversé la cosmologie au XXIème siècle, obligeant les chercheurs à repenser les confins de la connaissance. Ce livre répond aux nouveaux défis de la connaissance en formulant de nouvelles hypothèses scientifiques, révolutionnaires et fascinantes sur la compréhension de notre univers.
Celle de la singularité, comme dénominateur commun des éléments qui composent l'univers. Macro ou microscopiques, photons, individus ou théories des planètes, chaque élément de l'univers a une Energie propre, donc une identité et un temps différents des autres.
Celle des univers emboités les uns dans les autres, sorte de multivers, comme le suggère Everett, mais pas nécessairement côte à côte.
Celle du temps comme une dérive de l'énergie. L'énergie déployée lors du big bang se transforme en temps et en espace. Le temps n'existait pas avant lui et finira par disparaître.. La variable temps a donc une double ou triple signification, permettant de différencier le temps relativiste, celui de l'espace-temps einsteinien, du temps aristotélicien ou newtonien, bien que les mots soient identiques. Le temps reste une création locale dont l'équation de Boltzmann sert de modèle pour décrire son équivalent énergétique, qui devient une forme transformée Lagrangienne de l'Energie sans temps."
-
Faut-il tuer les chimistes pour sauver la planète ?
Parrein Jean
- Sydney Laurent
- 16 Février 2022
- 9791032670224
"Tout est chimie !
La planète est chimie, la vie est chimie, notre existence est chimie, notre corps est chimie.... La chimie, c'est l'interaction d'atomes et de molécules.
Ce livre montre cette réalité trop méconnue et les merveilles qu'elle produit. Reste à gérer les molécules créées par l'Homme avec celles déjà installées sur notre planète depuis des millions d'années.
Il est décrit la chance extraordinaire de vie sur notre planète ; une chance unique dans un univers terriblement hostile ; une chance que les hommes par mégalomanie et insouciance sont en train de gâcher.
Pour certains, les coupables sont les scientifiques qui créent les « machines » à détruire le monde, mais l'auteur met le doigt sur les hyper-puissances financières, créatrices de besoins inutiles, juste pour leur profit et leur croissance et ceci au mépris d'une majorité de la population mondiale qui se trouve dans le plus profond désarroi.
Il faudra bien changer notre façon de vivre, pour plus d'équité dans la population mondiale, avec maintien des ressources et de la qualité de vie pour les générations futures. Pour y parvenir, l'auteur crée l'IISE (Impact Individuel Sur l'Environnement). À chacun son bilan ..."